god of war ile de la mort

HorizonInterdit Ouest ne fait pas exception et propose une poignée de clins d’œil et de blagues ironiques à d’autres exclusivités PlayStation. Peut-être que la référence la plus cool du jeu est celle faite à 2018 Dieu de la guerre cela donne au joueur un nouvel ensemble de peinture pour le visage, Mark of War, qu’Aloy doit porter, ce qui la fait ressembler à Kratos Jackresta dans l'eau et regarda Suki avec un air desésperé, puis en baissant la tête il vit un objet brillant dans l'eau, il le prit et le remonta à la surface Godof War [Playstation 4]Corbeaux d'Odin 1/1Midgard - Île de la Mort Parcoureznotre sélection de île de la mort : vous y trouverez les meilleures pièces uniques ou personnalisées de nos boutiques. Venezdécouvrir tout ce qu'il faut savoir sur la partie : "Le plan de Kratos" du jeu God of War (2018) dans son wiki. nonton hi bye mama sub indonesia idlix. Page Wiki Solution complète Chapitre II Scylla Publié le 08/03/2011 à 0000 Partager Scylla sera votre premier Boss, elle est assez facile à tuer. Parez ses coups de tentacules en levant votre garde puis lancez vos attaques. A un certain moment, elle changera de place et vous enverra quelques araignées à tuer avant de regagner sa position. Continuez avec vos attaques jusqu'à ce qu'elle s'écroule pour qu'un levier apparaisse en haut, à droite. Activez-le puis suivez les touches affichées à l'écran pour en finir avec la bête. Remontez à droite, juste au dessus du levier et récupérez le trésor plein d'orbes dans le couloir à gauche. Montez ensuite à droite et ouvrez le coffre contenant un Œil de Gorgone et glissez le long de la corde. Vous tomberez au fond d'un bassin, brisez les planches en face en utilisant le sprint sous l'eau et ouvrez le coffre d' en surface et n'oubliez pas de sauvegarder la partie. Escaladez le rocher de droite puis grimpez au mur et rampez à droite jusqu'à atteindre la grande plateforme. Débarrassez-vous des ennemies et brisez le mur d'en-face puis suivez le chemin qui vous mène au Minotaure. Bloquez ses coups avec de simples gardes et enchainez les frappes. Dès sa mort Scylla vous surprend, suivez les touches affichées sur l'écran pour vous en débarrasser. Tirez le levier qui est à votre droite, grimpez au mur en face et avant de passer à la porte en haut, continuez à ramper à gauche jusqu'à atteindre deux coffres d'orbes franchissant la porte, tournez à gauche juste après le virage et cassez le mur de droite puis récupérez les orbes rouges dans le coffre. Reprenez le couloir et tuez les ennemies ensuite grimpez au mur d'en face. Abattez les trois lanceurs de lames et prenez l'Œil de Gorgone du coin à gauche. Ouvrez la porte de droite et tirez le grand bloc puis arrêtez-vous juste devant l'entrée et montez sur la corniche de droite en utilisant le rocher où vous trouverez un coffre d'orbes. Descendez et tirez le bloc à nouveau jusqu'au bouton sur le pont que vous venez de passer. Un petit crochet sera affiché à gauche, utilisez-le pour passer de l'autre côté. Tout d'abord, plongez dans le bassin juste qui est sous le crochet et ouvrez le coffre pour plus d' les monstres puis suivez le couloir et descendez la falaise. Tournez à gauche et ouvrez les deux coffres d'orbes ensuite rebroussez chemin et passez la porte de droite. Après la cinématique, tournez à gauche pour trouver un autre coffret d'orbes puis suivez le chemin demi-circulaire jusqu'au nouveau point de sauvegarde. Prenez les deux portes à droite et activez le levier pour remonter tout en éliminant les soldats. Suivez la rivière et tuez les monstres. Au bout de la route, vous devrez glisser le long d'une pente avant d'appuyer au bon moment sur la touche qui s'affiche à l'écran. Restaurez votre santé grâce au coffre d'en face puis montez les escaliers, à votre droite. Il s'agit de votre premier combat contre un cyclope, il suffit d'enchainer quelques coups par derrière et d'esquiver ses une brève cinématique montrant Scylla, détruisez les trois monstres puis descendez les escaliers qui sont au fond à gauche. Récupérez quelques orbes rouges puis prenez les escaliers du milieu. Tournez à droite et poussez la grande statue dans la piscine. Plongez dans le trou et nagez à gauche. Ouvrez les deux coffres d'orbes rouges puis continuer à nager jusqu'à la sortie au fond à droite. Parcourez le couloir et ouvrez le portail. Tuez le petit troupeau de montres puis passez à la plateforme circulaire. Faites attention au pont qui s'écroule dès que vous y mettez les pieds. Effectuez votre sauvegarde et montez la pente à votre droite vers le temple de Poséidon. God of War Ragnarök se rapproche de nos PlayStation, mais il va encore falloir patienter. Suite aux nombreuses rumeurs partagées cette semaine, le directeur créatif de Santa Monica Studio rassure que le jeu se dévoilera le plus tôt possible », mais pas maintenant. Si vous surveillez de près toutes les nouvelles informations au sujet de God of War Ragnarök, vous n’avez pas pu passer à côté des rumeurs sur le jeu. Se propageant comme une trainée de poudre sur les réseaux sociaux, les fuites annonçaient une présentation imminente du jeu et la confirmation de la date de sortie. En même temps, God of War Ragnarök est très attendu après le succès du jeu de 2018. God of War Ragnarök – Crédit Santa Monica Studio Santa Monica Studio a peut-être déjà terminé le développement de God of War Ragnarök, mais cela ne signifie pas pour autant qu’une annonce est imminente. Cory Barlog, le directeur créatif de Santa Monica Studio, a lui-même pris les choses en main pour calmer la foule de fans plus qu’impatients. Il essaie de dissiper la hype qui s’est créée ces derniers jours. À lire aussi > God of War en série TV Amazon Prime Video derrière le projet ? Le directeur créatif de Santa Monica Studio demande aux fans de God of War d’être patients Parmi les innombrables tweets sur God of War Ragnarök cette semaine, ceux de quelques insiders réputés ont fait rapidement monter la hype. Certains s’attendaient même à un State of Play surprise pour la fin du mois de juin. L’insider Jason Schreier a participé à la vague de rumeurs en affirmant que le jeu sera bientôt annoncé. Il a aussi confirmé une date de sortie prévue pour novembre 2022. Cory Barlog est donc rapidement intervenu pour demander aux joueurs d’être patients. Il a tweeté que si cela ne tenait qu’à moi, je partagerais toutes les informations dès que j’en serais informé, mais cela ne dépend pas de moi. Alors, s’il vous plaît, soyez patients. Je promets que les choses seront partagées le plus tôt possible ». dear all,if it were up to me I would share all the information when I know about it. but it is not up to me. so please, be patient. I promise things will be shared at the earliest possible moment they can make games for you. we get to make games because of you. ❤️ cory barlog corybarlog June 29, 2022 Le message est donc clair. Pas besoin de s’affoler, God of War Ragnarök sera annoncé en temps et en heure, mais ce n’est pas encore pour maintenant. Depuis son annonce en septembre 2020, God of War Ragnarök est probablement le jeu le plus attendu sur PlayStation 4 et PlayStation 5. Nous avons déjà eu droit à un trailer officiel il y a quelques mois, mais les joueurs attendent de voir plus de gameplay. On espère aussi que le jeu sorte bien à la fin de l’année et qu’il ne soit pas retardé à 2023… Source IGN Page Wiki Artefacts - Île de la mort Publié le 19/04/2018 à 1721 Partager Voici les emplacements des Artefacts de l'île de la Mort dans la région de Midgard dans God of War Artefact 01Une fois sur l’île, grimpez sur le promontoire ou se trouve le braséro. Contourner l’épave de navire au fond pour découvrir une jarre explosive. Une fois le passage libre, montez sur l’épave et regardez vers l’autre côté du promontoire pour apercevoir une nouvelle jarre. Faites-la exploser pour libérer l’accès à l’artefact. Guide des Artefacts de MidgardSommaire guide des Artefacts de God of WarSommaire de la Soluce de God of War 10 trucs et astuces pour bien débuter dans God of War Histoire Le voyage – Les arbres marqués Le voyage – Le chemin de la montagne Le voyage – Un royaume à part Le voyage – La lumière d’Alfheim Le voyage – Au cœur de la montagne Le voyage – Nouvelle destination Le voyage – Le burin magique Le voyage – Derrière le verrou Le voyage – La maladie Le voyage – La rune noire Le voyage – Retourner au sommet Le voyage – Quitter Helheim Le voyage – Le chemin de Jötunheim Le voyage – Entre les royaumes Le voyage – Aux portes de Jötunheim Le voyage – Les cendres de mère Le voyage – Retour au foyer Quêtes secondaires Mines de Völund – Âme de seconde main Lac des Neufs – Affaires inachevées Cascade de pierre – Coup de marteau Cavernes oubliées – Poids mort Veidrrgard – La captivité d’Otr Réserve de Fafnir – Le magot de Fafnir Mines de Landsudr – Deus ex Malachite Forteresse de Northri – Affaires de famille Forteresse de Northri – Le temps guérit les plaies Conseil des Valkyries – L’envol de Fafnir Chenal du tailleur de pierre – L’anatomie de l’espoir Konnunsgard - Vive le roi & Le feu de Régin Ouvertures de royaumes Muspelheim Débloquer Muspelheim, le royaume du feu Guide Muspelheim défis et récompenses Niflheim Débloquer Nilfheim, le royaume de la brume Guide de Niflheim labyrinthe d'Ivaldi Niflheim - Services pour Sindri Artefacts Midgard Fauvebois La rivière Le lac des neufs Falaise du corbeau Île de la mort Caverne oubliée Chutes de pierre Veidrrgard Tour de guet Montagne Alfheim Helheim Corbeaux d’Odin Midgard Fauvebois La rivière Lac des neufs Mines de Völund Falaise du corbeau Île de la mort Cavernes oubliées Chutes de pierre Veidrrgard Contreforts Réserve de Fafnir Tour de guet Réserve de Buri Anse de fer Montagne Mines de Landsudr Forteresse de Northri Conseil des Valkyries Corps de Thamur Konnunsgard Alfheim Helheim Inscriptions runiques Midgard La rivière Lac des neufs Mines de Völund Veidrrgard Montagne Forteresse de Northri Conseil des Valkyries Temple de Tyr Konnunsgard Alfheim Coffres des Nornes Midgard Fauvebois La rivière Tour de guet Cavernes oubliées Veidrrgard Réserve de Fafnir Contreforts Montagne Avant-poste des Elfes Blancs Falaises du corbeau Temple de Tyr Konnunsgard Alfheim Coffres légendaires Midgard La rivière Mines de Völund Chutes de pierre Veidrrgard Réserve de Fafnir Réserve de Buri Île de la mort Anse de fer Contreforts Montagne Avant-poste des Elfes Blancs Falaises du corbeau Lac des Neuf Temple de Tyr Konnunsgard Alfheim Helheim Fresques de Jötnar Fresques de Midgard Fresques d’Alfheim Fresques de Muspelheim Chambres cachées Comment débloquer les chambres cachées et pourquoi faire ? Chambres de Midgard Chambres d’Alfheim Chambres d'Helheim Cartes au trésor La rivière - Le tribut de la tortue Mine de Völsund - Mort et boursoufflé Tour de guet - Le royaume de la chasse Chutes de pierre - La clef du capitaine Réserve de Fafnir - Sans fermer l’œil Cavernes oubliées - Commission Anse de fer - L’île de la création Ruines des anciens - L’Historien Mines de Landsudr - A genou devant Thor Forteresses de Northri - Les rameurs de Njörd Chenal des tailleurs de pierre - Île de lumière Montagne - Aux yeux de toutes Failles de Royaume Failles de Midgard Failles d'Alfheim Failles de Niflheim Valkyries Gunnr Kara Geirdiful Olrun Eir Gondul Rota Hildr Sigründ Trophées Trophées cachés Comment débloquer l'Aspis de Fureur Spartiate ? Pourquoi Kratos a troqué ses anciennes armes contre une hache ? Les développeurs émus par les critiques du jeu à sa sortie Traduction des runes de l'édition collector Steelbook En forme olympique ? Testé pour PlayStation 4 Dans la chronologie officielle, on l'avait laissé noyé dans un bain de sang, après avoir passé à tabac la quasi totalité de l'Olympe sans pour autant trouver le repos. Huit ans plus tard, en temps humain, et pas loin de cinq en temps de développement, voici Kratos de retour dans un épisode en forme de reboot, prêt à fouler les terres désolées de Midgard autrement plus fraîches et hostiles que la Grèce Antique. Ce qu'il advint de lui durant ce laps de temps, nul ne le sait. Toujours est-il qu'il est désormais flanqué de son fils, Atreus, d'une nouvelle caméra, plaquée derrière lui, et qu'il a troqué ses Lames du Chaos pour une Hache-boomerang bien commode quand il s'agit de fendre des crânes. Tout ça pour grimper au sommet de la plus haute montagne et y répandre les cendres de Faye-sa-bien-aimée. Comme dans un épisode de Dora l'Exploratrice, mais avec un peu plus de soufre autour. Condition de test Ce test a été réalisé durant le weekend de Pâques, idéal pour éclater des monstres en peignoir. Notre comparateur de prix PS4 PC PSP Amazon 9,90 Fnac marketplace 11,38 Cdiscount 12,27 Rakuten 15,96 Leclerc 16,32 Boulanger 17,00 Micromania 17,99 Auchan 19,99 Fnac 19,99 Dlgamer 41,99 Gamesplanet 44,99 Gamersgate 49,99 Gamesload 49,99 Amazon 49,99 Boy, qu'en est-il du portage PC de God of War ? par Julien StrongAprès une sortie fracassante sur PS4 il y un peu moins de quatre ans, God of War s’apprête désormais à fouler le paysage du monde du PC, emboîtant le pas aux exclusivités Sony comme Death Stranding, Days Gone et Horizon Zero Dawn. Ce dernier avait d’ailleurs fait couler beaucoup d’encre tant la qualité de son portage manquait clairement d’optimisation au lancement sans parler du temps de chargement initial très longuet, l’absence de partenariat avec AMD ou Nvidia pour de l’upscaling assisté par IA ou les cinématiques uniquement cadrées en 169…. Il semblerait néanmoins que le soft reboot de la série pilotée par Sony Santa Monica ait été épargné de ces problèmes pour sa version y a donc peu de choses à redire sur le travail de Jetpack Interactive, chargé du portage ici, qui rend une copie propre sans même avoir besoin, par exemple, de nouveaux pilotes d’optimisation graphique pour les utilisateurs de Nvidia GeForce Experience. Le seul bémol très mineur se trouve en fait sur la vidéo d’animation du logo PlayStation Studios au démarrage du jeu, qui dispose d’un son un peu “sale” et qui a ainsi soulevé quelques réserves chez votre serviteur, craignant que cela soit indicatif de la qualité du reste de cette version. Mais les quelques heures de jeu passées par la suite sur le titre ont estompé ces quelques craintes. D’abord, on a pu découvrir avec joie qu’il est possible de jouer en résolution extra-large 219 sans contraintes, même lorsqu’on ne possède qu’un écran 169 toutes les cinématiques étant rendues en temps réel, il a sûrement été facile d’étendre l’angle de vision de la caméra du jeu en toutes embrayant sur les options graphiques, des préréglages sont bien sûr de la partie, avec un paramètre “Standard” permettant de retrouver un niveau de qualité similaire à ce qu’il y avait sur PS4, mais une fonction “Personnaliser” laisse aussi la possibilité d’ajuster la qualité des textures, des modèles 3D, des ombres, des effets atmosphériques et de l’occlusion ambiante en les configurant sur “Bas”, "Élevé" ou “Ultra” selon la puissance de votre bécane. Certains ont d’ailleurs droit à un traitement de faveur, comme les reflets qui peuvent être en “Ultra+” ou finir tout simplement désactivés, et un joli indicateur d’utilisation de la VRAM en bas à gauche de votre écran pour vous permettre d’aiguiller un peu plus vos choix. On déplore cependant quelques opportunités manquées, comme l’absence de reflets en temps réel qui auraient pu être présents pour les possesseurs de cartes compatibles ray tracing, ou l’oubli de remplacer les indicateurs de touches L3 et R3 par LS et RS lorsqu’on joue avec une manette la même occasion, vous risquez de rester un peu sur votre faim si vous souhaitez en savoir plus sur les méthodes utilisées pour l’antialiasing, si ce n’est que le moteur du jeu utilise un filtrage anisotrope configurable entre “Bas” et “Ultra”. Concernant les technologies tierces, le FidelityFX d’AMD est tout à fait présent, et son concurrent direct, le DLSS de Nvidia, également tous deux ont pour principe de générer des graphismes en basse résolution, puis de les agrandir vers la résolution voulue par exemple du 720p vers de la 4K, et de gagner en fluidité d’image sans trop compromettre sa qualité. Ces deux outils sont d’ailleurs configurables en fonction de vos goûts et des besoin de votre machine, mais les possesseurs d’une carte graphique Nvidia pourront également bénéficier de la nouvelle technologie “Nvidia Reflex” permettant de réduire le temps de latence entre vos commandes et leur prise en compte par le avons en tout cas eu l’occasion d’essayer le titre sur quatre machines différentes, et sans surprise, sur une configuration Intel i9-7920 + RTX 3080, God of War tourne en 4K natif à 60fps avec tous les paramètres graphiques définis en “Ultra”. Sur des machines un peu plus anciennes embarquant un processeur Intel i9-9900k et des cartes graphiques RTX 2060 ou 2080, il faudra baisser un peu le curseur pour le placer en “Élevé” ou “Standard” pour continuer à jouer en 4K à 60fps tout en activant la solution d’upscaling de Nvidia, tandis que ceux équipés d’écrans en 1080p pourront presque aisément faire tourner le jeu en résolution native avec le préréglage “Ultra”.On émettra quelques réserves cependant sur la configuration recommandée par Sony, car en lançant le jeu sur une machine embarquant une GTX 1060, 8GB de RAM et un i7-8700k, cette dernière a un peu du mal à dépasser les 45fps en 1080p avec le préréglage “Standard”, et les 60fps ne seront pas non plus garantis en mettant la qualité graphique sur “Basse” sans diminuer la résolution de rendu. Toujours est-il que les différents effets visuels restent splendides et sont d’autant plus agréables en plus haute résolution lorsqu’on se souvient que la version PS4 Pro tournait à peine au-dessus des 30fps… même si tous les “petits défauts” de la version d’origine “pops” de modèles 3D en fond d’image par exemple sont toujours présents quelles que soient vos ressources somme, on retrouve là une version PC bien propre même si un peu sommaire à certains endroits, permettant à ceux qui ne possédaient pas les deux dernières consoles de Sony de pouvoir enfin découvrir de l’aventure de Kratos et de son bambin un peu bruyant. Si vous aviez déjà exploré les royaumes nordiques manette en main il y a quelques années et que vous souhaitez vous rafraîchir la mémoire en attendant la sortie du prochain opus, les apports de cette nouvelle version sont probablement assez peu nombreux pour passer de nouveau à la caisse en échange des cinquante euros demandés. Pour rappel, la version console a également bénéficié d’une mise à jour optimisant les performances sur PS5, qui la met presque au même niveau de qualité que la version PC lorsqu’on les compare des comparatifs encore plus détaillés, n'hésitez pas à consulter le test de nos collègues du site Les Numériques. L'essentiel à savoir en 3 minutes Caméra repositionnée, système de combat repensé, barbe bien taillée, tout ça c'est OK. Mais si vous êtes venus vous hyper sur God of War avant de valider votre préco et après avoir foncé sur la note, c'est aussi et surtout parce que le jeu vous fait de l'oeil au sens premier du terme. God of War III était "tellement beau que t'en chiales ?" Vous pouvez investir vos Bitcoins chez Kleenex, on ne vous arrêtera pas pour délit d'initié. 4K ou pas, modèle Pro qui turbine en Boost ou non, mode Performance vs mode Résolution uniquement sur Pro quelle que soit la configuration, le jeu sera au pire incroyablement beau, au mieux divin. Et franchement fluide en plus, ce qui permet à tout le monde d'en profiter dans les meilleures conditions, que vous privilégiez la finesse pour ne plus voir le moindre pixel dépasser du crâne de Kratos même en collant le nez à la dalle, ou avec un compromis fluidité / 2K qui nous a sans cesse mis des tartes. D'ailleurs ce test est écrit depuis une poche de glace. Alors non, le jeu ne tourne pas à 60 fps, mais il tourne sans le moindre accroc, et même en réduisant le flou cinétique, les rotations de caméra sont hyper les plus grands jeux toutes époques confondues, God of War a bien pris soin de dissimuler sa vraie nature et toute son envergure, ne laissant voir que quelques environnements enneigés déjà splendides mais un rien monotones. Oubliez les traces dans la poudreuse et les vastes forêts boréales pourtant magnifiquement rendues le jeu offre bien plus que ça, et il y a peu de chances pour que vous restiez de marbre face à un tel trésor. Parcourez la colonie ruche avec son clair obscur époustouflant, traversez la réserve avec la bouche grande ouverte face à une telle débauche de couleurs les noms propres ont été volontairement sacrifiés sur l'autel du spoil, hallucinez face aux effets de particules qui émanent de la moindre passerelle spatio temporelle, et vous aurez déjà une idée plus claire de la magnificence qui irradie l'écran. Une beauté architecturale aux mécanismes grandioses dont on peut d'ailleurs profiter en virant certaines indications un peu trop voyantes à l'écran. En attendant l'arrivée du mode photo qui ne saurait trop tarder pour immortaliser tout ça et illuminer votre profil Insta entre deux le barbantAvant de se perdre en superlatifs, autant évacuer d'emblée le seul "gros" défaut de God of War à nos yeux son écriture. Critère éminemment subjectif s'il en est, mais qui a suffi à siphonner une partie du plaisir de jeu à intervalles trop réguliers pour ne pas lui en tenir rigueur. Si tout se passe comme prévu, vous lirez partout que Cory Barlog est devenu cet auteur qui a su transcrire en jeu tous les tourments de la parentalité, la difficulté d'être un père juste et protecteur dans un monde en perdition, surtout quand on est rongé de l'intérieur par des blessures intimes tel un colosse-au-coeur-d'argile. Alors non. Pas ici. On n'en est pas encore au point de regretter le formatage " du personnage ; il fallait bien que le chauve évolue avec son temps, et même si on a encore du mal à le reconnaître derrière sa barbe, il lui suffit d'esquisser un regard, et de déboiter une ou deux nuques, pour que le naturel revienne au garrot. Le souci, c'est que la relation Atreus - Kratos évolue avec la finesse d'un pachyderme sur une gyroroue si la parentalité se résume à écraser toute velléité de son rejeton comme le pire party crasher depuis Jean-Vincent Placé, genre virilisme Leader Price, on préfère mille fois se remater The Tree of Life en boucle. Malgré les arbres en gros plan et les dinosaures quand le point de vue évolue et que d'autres protagonistes s'en mêlent, on en reste sur ce constat de lourdeur et d'antipathie, les rares élans de tendresse et d'hésitation étant aussi surlignés que les paupières d'une Youtubeuse beauté. Pour quelques parallèles un peu plus nuancés notamment sur la fin et une ou deux saillies bien placées du fiston, on garde surtout en tête la fréquence de ces daronnades années 30 qui tiennent plus de la névrose que de la maladresse. Pardon d'être insistants ou de ne pas suivre les préceptes d'une éducation à coups de ceinturon, mais entendre des sermons, des reproches et des "non" à tout bout de champ ne fait pas forcément rejaillir l'amour entier mais contrarié que voue Kratos à son fils. Même s'il est question de survie dans un environnement hostile. Et quand il faut en prime encaisser des réactions tout aussi incohérentes d'autres personnages, fussent-ils des dieux, on n'est plus très loin du facepalm. Heureusement, des ressorts comiques essaient de détendre l'atmosphère avec brio, tout en déportant cette tension parfois un peu trop pesante, pour ne pas dire lourdingue. Et sans le moindre spoiler, on entend déjà au loin la cavalerie des débatteurs prêts à s'enflammer au moment du générique de fin, ce qui est loin de nous déplaire, car le jeu a vu les choses en très l'écriture nous a posé problème, la mise en scène mérite en revanche tous les éloges. Tel un Birdman étalé sur vingt à trente heures, God of War a fait le pari d'étirer son récit en un seul plan séquence, c'est-à-dire sans la moindre cut-scene, fondu au noir ou champ / contre-champ pour venir l'interrompre. Et à une ou deux scènes près les confidences d'un méchant qu'on épie en pleine escalade, l'artifice fonctionne à la perfection, sans rien perdre de la démesure qui fait la patte de la série depuis l'épisode original. La caméra se balade, prend de la hauteur, s'attarde sur un élément du décor, tourne autour des géants et des dieux-serpents gigantesques, pour venir se recaler in fine dans le dos de Kratos, sans qu'on n'ait vu la différence en matière de rendu ou de fluidité, comme si le jeu tenait d'un seul bloc fait de marbre. Une prouesse qui favorise logiquement l'immersion tout en assurant une unicité du récit, et qui a sans doute imposé d'interminables heures de réflexion aux scénaristes. Après, oui, on n'échappe pas aux marches forcées et à la caméra prise en étau comme dans le premier clone de Gears of War venu, mais la performance, finalement très discrète et inventive, méritait d'être soulignée. Car le défi est surmonté, et de belle liens du sangPlus que dans l'écriture, c'est dans le gameplay que les liens Kratos - Atreus finiront par se resserrer naturellement. C'est vrai, sur la foi de l'angle de caméra et du duo un peu forcé, on a craint tout au long du développement de tomber dans la caricature The Last of God of War. Et par certains aspects, ce reboot en terres nordiques ne lésine ni sur les corniches ni sur les interrupteurs à activer pour revendiquer cet héritage. Dans l'articulation de ses énigmes et la progression en tandem, cet épisode reste d'un classicisme éprouvé, qui se traduit par de grosses marques au sol pour indiquer les plates-formes sur lesquelles se hisser, et des éléments du décor mis en surbrillance pour y envoyer une flèche ou une hache. Des coffres à ouvrir en dénichant des sceaux dissimulés dans le décor ? C'est possible. Dit comme ça, ce n'est pas très excitant, même si on y revient machinalement - et toute comparaison avec la vie de couple est proscrite. La différence se fait en partie sur la démesure des environnements qui vous saisit à chaque panorama voir plus haut, mais aussi et surtout sur le système de combat, socle de ce nouvel une série comme God of War, qui a toujours essayé de compenser le manque d'impact de ses collisions par le grotesque de ses mises à mort en QTE, c'est même une divine surprise. Oubliez les lames du Chaos qui interrompent à peine la course des ennemis en attendant qu'un gros rond s'affiche à l'écran entre le recadrage de la caméra pour vous plonger directement dans la mêlée et le travail minutieux sur le couple animations / bruitages, le déchaînement de violence n'attend plus un finish cinématique pour procurer des sensations fortes. A la manière d'un Asura's Wrath pleinement jouable, chaque coup de hache, chaque mandale, chaque parade semblent animés d'une telle rage qu'on en vient à guetter le moindre affrontement comme une récompense - en même temps, il suffit de voir une arène un peu ouverte et deux cristaux verts de santé à même le sol pour flairer la baston. Un peu limitée au départ, le temps sans doute d'apprendre à distinguer les ennemis sensibles ou non à la hache, la prise en main s'étoffe à mesure que Kratos et Atreus gagnent en aériens que dans God of War Ascension, surtout excellents en petit comité c'est un peu moins vrai face à des cibles géantes, les combats s'éloignent des combos bourrins pour aboutir à quelque chose de plus chorégraphié. Entre les haches qui tournoient sur elles-mêmes, les attaques runiques de givre pour figer l'ennemi, les contres après esquive et les flèches du fiston qui viennent s'intégrer aux enchaînements aériens pour ne pas laisser retomber la cible - et gonfler au passage la jauge d'étourdissement - le gameplay s'épanouit au fil des heures. Peut-être pas de quoi faire oublier le faible nombre d'armes disponibles et un bestiaire malheureusement un peu trop recyclé par rapport aux épisodes précédents, d'où l'impression de répétition à haute dose, mais assez pour passer ses nerfs et prendre du plaisir à expérimenter toutes sortes d'enchaînements de plus en plus impressionnants. Au gré des combats, Atreus consignera dans son carnet les meilleures méthodes de combat à adopter face à telle ou telle cible, ce qui n'est pas du luxe quand on galère un peu trop face aux téléportations de nos amies des AsesComme un signe des temps, God of War nouvelle ère ne se contente plus d'effleurer les notions d'XP, de perks et de loot avec des orbes rouges à cramer. Une pression sur le pavé tactile et c'est tout un panel de stats qui viennent s'aligner dans une interface pas toujours bien limpide, avec des sous-onglets de partout et des sous-catégories qu'on finira par apprivoiser faute de mieux. C'est ici que vous viendrez siffler votre XP pour acquérir ou améliorer cette nouvelle capa qui vous faisait de l'oeil, et on vous conseille franchement de tout placer sur le Livret Ecureuil d'Atreus, vu la vitesse à laquelle il finit par décocher ses flèches. Mieux vaut étourdir les ennemis les plus résistants pour une mise à mort quasi instantanée au lieu de voir le combat s'éterniser. Surtout quand on voit le déferlement de violence qui s'ensuit - une pensée pour la famille des loups-garous et leurs mâchoires écartelées jusqu'au genou, de loin l'un des trucs les plus gores qu'on ait vu dans la dit loot dit bien évidemment craft, un élément déterminant pour résister aux offensives ennemies de plus en plus brutales, et parfois même perdues d'avance quand le différentiel de niveau est trop élevé - dommage pour la cohérence. Pour ceux qui s'en tiendront à l'histoire, la progression se fait assez naturellement, zone après zone, avec un coffre ou deux bien garnis, mais il faudra bien évidemment s'écarter du droit chemin pour parader avec les pièces légendaires. Comme un Destiny dont il reprend les codes couleurs et même au bout du compte un niveau global lié aux stats / équipements, God of War nouvelle ère met en évidence le moindre changement esthétique, du pommeau de la hache aux cuirasses. Des éléments qui donnent également accès à de nouvelles augmentations et de nouvelles perks parfois extrêmement contextuelles. Sans compter les talismans, les protections contre le feu ou le givre à cumuler, et plein d'autres bonus écrits trop petits qui demandent là encore de plisser les yeux et de se balader de menu en menu. Mais assez fournis en tout cas pour donner envie de s'y pencher et tenter des combinaisons en fonction de votre style de jeu, certains sets privilégiant clairement l'attaque de base, d'autres la magie runique, mais bien souvent au détriment de la rase KratosVous l'aurez déjà déduit, God of War est non seulement un jeu sublime et brutal, mais il est finalement beaucoup plus riche, beaucoup plus prenant et bien plus engageant que ce que laissaient supposer les premières heures de jeu. Ou même la preview du mois dernier, qui s'est bien gardée de laisser entrevoir un semblant de hub et de dimension Metroidvania light pour mieux brouiller les pistes et faire son petit effet. Une fois "embarqués" dans leur véritable aventure, Kratos et Atreus auront le loisir d'explorer les environs de Midgard et de revenir sur leurs pas pour débloquer de nouveaux passages et des coffres en prime avec la bonne capacité en poche. Et même si le jeu maintient en permanence une ligne conductrice, symbolisé par ce gros point jaune sur la boussole, quelques quêtes annexes, la plupart émanant des forgerons nains, suffiront à débarquer sur d'autres îlots, et dans le meilleur des cas à s'aventurer dans de nouvelles zones à part. Car le jeu ne cesse de surprendre par son étendue durant la première dizaine d'heures. Pour naviguer parmi toutes ces destinations, on pourra heureusement toujours se fier à la boussole quand elle indique assez précisément le cap à suivre avec de grandes flèches autrement plus fiables que la map, pas toujours très claire même en poussant le niveau de zoom. Autre solution les téléportations au sein d'une même grande zone, des séquences aussi spectaculaires que longues pour masquer les temps de chargement ; les limites du "no cut", autant de belles inspirations qui garantissent un minimum de vingt heures de jeu souvent bien rythmées, malgré une tendance aux aller-retours assez nette et un recours aux plans-B qui tire méchamment sur la corde, surtout si, tel le testeur de jeu vidéo pressé par le temps, vous vous goinfrez comme un goret. Fort heureusement, entre les raccourcis et les coffres à ramasser, on ne fait jamais le voyage pour rien, le jeu s'offrant même plus tard le luxe de débloquer toujours plus de défis un peu rogue-like en plus des arènes à enchaîner, un poncif aux challenges d'élimination là encore plutôt bien amenés. Si l'on ajoute d'autres défis quasiment intégrés à la quête principale, masqués derrière de grands miroirs, et qui donnent lieu à des combats de boss un peu moins gratuits et plus trépidants que ceux de l'aventure, il y a encore quelques heures supplémentaires à aligner facilement au terme de l'aventure. Et au besoin, les autres modes de difficulté viendront vous fesser sans autre forme de procès. Et vu la gueule du daron, on préférerait que vous gardiez votre coccyx intact. Le trailer du jour Ça vous a intéressé ? En voilà encore ! Santa Monica Studio et PlayStation viennent de partager une vidéo à regarder avant de jouer à God of War Ragnarok drôlement bien fichue. Voici le résumé officiel de God of War 2018. Alors qu’un supposé leak a affolé la Toile ce weekend, Santa Monica Studio vient de sortir une nouvelle vidéo de God of War Ragnarok. Un indispensable pour celles et ceux qui n’auraient pas fait le jeu précédent ou qui n’auraient plus les événements des premières aventures de Kratos et son fils en tête. Une vidéo récap pour God of War Ragnarok C’est l’heure des révisions. Lors de la sortie de God of War en 2018 sur PS4, les joueurs ont pu découvrir de nouvelles facettes de Kratos et partir à la découverte des royaumes nordiques et leur histoire. Pour préparer les joueurs à la sortie de God of War Ragnarök le 9 novembre 2022, PlayStation vient de dévoiler une vidéo sous forme d’un véritable conte animé narrant les événements de God of War 2018. Parfait pour se remettre à niveau avant la sortie du titre attendu impatiemment de tous, même du patron de Xbox. Sans entrer dans les détails pour ceux qui souhaiteraient redécouvrir cette histoire en jouant à God of War, le jeu s’ouvre sur les funérailles de Faye, mère d’Atreus et femme de Kratos. Pour assouvir sa dernière volonté, le père et son fils partent dans un périple pour aller répandre ses cendres depuis le plus haut sommet des neuf royaumes. Ils seront confrontés à la nature hostile du Grand Nord, ses bêtes, ses monstres, et ses dieux tout sauf bienveillants. Ils feront des rencontres inattendues sur leur chemin, dont les frères Huldres, Brok et Sindri, célèbres nains forgerons. Leur quête aboutit au déclenchement d’une prophétie annonçant le soulèvement total des neuf royaumes et une bataille qui entraînera la mort de dieux. Ainsi commencera l'histoire de God of War Ragnarok.

god of war ile de la mort